Pierre-Yves McSween analyse et décortique le budget de Chrystia Freeland au micro de Paul Arcand mercredi.
Impossible de ne pas parler du déficit, qui s'élève à près de 40 milliards de dollars.
«On est rendus habitués, avec les libéraux, aux déficits monstres.»
Il explique que le plan de match, s'il en est un, est de réduire le déficit en se fiant sur la croissance économique, la hausse des taxes, l'augmentation des revenus et l'attrition naturelle, soit une diminution de postes dans la fonction publique.
En deuxième portion de chronique, il analyse les mesures du parti de Justin Trudeau concernant la construction de logements.
«Le gouvernement commence à comprendre le bouton panique sur le logement.»