L’ancien député québécois, Harold LeBel, a écopé de huit mois de prison après avoir été reconnu coupable en novembre de l’agression sexuelle d’une jeune femme dans son appartement de Rimouski en 2017.
Le juge Serge Francœur a également entériné une suggestion des deux parties concernant l’inscription du nom de LeBel dans le registre des délinquants sexuels, pour 20 ans.
Par ailleurs, il devra respecter une série de conditions qui l’interdisent de prendre contact avec la plaignante durant sa détention.
Écoutez le commentaire de Me René Verret, avocat spécialisé en droit criminel et pénal.