Selon une analyse de Statistique Canada, les immigrants racisés sont plus susceptibles de se retrouver dans une situation de pauvreté.
Des enjeux font qu'un immigrant de première génération puisse l'avoir difficile et que, toutefois, ça puisse possiblement être plus facile pour ses enfants ou ses petits-enfants.
Au micro de Paul Arcand, l'animateur en discute avec Rachad Antonius, professeur associé au Département de sociologie de l’UQAM.
«Il y a des attitudes de méfiance envers les immigrants, ça joue certainement, mais ce ne sont pas les facteurs les plus importants comme: la structure de la famille et combien de personnes travaillent? Est-ce qu'ils connaissent les langues? Ce genre de facteurs a un impact assez grand.»