Lors de sa chronique économique à l'émission de Louis Lacroix, mardi, Pierre-Yves McSween parle de «l’abordabilité» du marché immobilier montréalais.
De la moins abordable à la plus abordable, Montréal se classe au 118e rang d’une analyse de Mercer sur un total de 226 grandes villes du monde.
Ainsi, le chroniqueur parle avec l'animateur de l'augmentation des prix des résidences à Montréal.
Dans la foulée, il critique les politiques fiscales du gouvernement, notamment le non-remboursement des taxes pour la construction de logements à Montréal et les coûts prohibitifs pour les propriétaires de condos.
«Beaucoup d'appartements de 324 pieds carrés et de 422 pieds carrés, tu ouvres la porte [et ça ressemble à] une chambre d'hôtel, avec un lit mural, une cuisinette, une toilette dans le fond. Tu te sens à la même place qu'à l'hôtel. La différence, c'est que toi, tu le payes le prix pour l'avoir.»
«Est-ce que ça vaut encore la peine de miser sur Montréal? Est-ce que comme travailleur tu n'es pas mieux dans une autre ville avec un salaire inférieur, mais avec une meilleure abordabilité?»
Autre sujet abordé
- Les employeurs qui proposent aux gens d’être travailleurs autonomes pour en tirer un avantage...