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Conflit ferroviaire potentiel

«S'il n'y a plus d'offre, mais qu'il y a de la demande, les prix montent»

«S'il n'y a plus d'offre, mais qu'il y a de la demande, les prix montent»
Une gare en Colombie-Britannique / PC/Darryl Dyck

Un conflit de travail pourrait survenir après le coup de minuit dans l'industrie ferroviaire au Canada


Au micro de Philippe Cantin, la chroniqueuse économique Michèle Boisvert met en perspective toutes les conséquences liées à un tel arrêt de travail.


«C'est la première fois dans l'histoire du Canada que les deux chemins de fer tomberaient en arrêt de travail en même temps: c'est 10 000 travailleurs. C'est l'économie canadienne au complet qui est presque à l'arrêt à la suite de ça: c'est les ports, les ports de Vancouver, de Montréal et de Halifax. Deux jours de grève et ils ferment.

«Les ports ferment après deux jours. Après ça, c'est qu'est-ce qu'ils transportent? Ils transportent toutes les récoltes, les minerais, les produits de consommation. En chiffres, c'est 380 millions de dollars par jour, 4 % du PIB. Il y a une loi en économie qui s'appelle la loi de l'offre et de la demande. S'il n'y a plus d'offre, mais qu'il y a toujours de la demande, les prix montent, nécessairement.»

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