Dans le cadre de son coup de gueule, jeudi, Luc Ferrandez réagit aux rumeurs entourant l'arrivée de potentiels adversaires à Valérie Plante à la mairie de Montréal.
Dans sa chronique publiée dans La Presse, Maxime Bergeron a avancé les noms du grand patron de Centraide, Claude Pinard, et de l'ex-ministre libéral David Heurtel.
«David Heurtel, c'est un homme qui se lève lorsque le mandat l'exige. C'est un gars qui est intelligent, convivial, sympathique. Je pense que, s'il avait envie de le faire, il partirait sur de bonnes bases. Parce que Montréal est une ville libérale, il ne faut pas oublier ça non plus. C'est pas une ville péquiste, c'est une ville solidaire ou libérale. Il aurait des chances...»
«Claude Pinard, c'est le bon candidat, lui. C'est un excellent candidat. Mêmes qualités qu'Heurtel en termes de convivialité, facilité d'approche, écoute, sensibilité. Mais on ajoute deux couches à ça. D'abord, chez Centraide, ce qu'il a fait, c'est une approche proactive basée sur l'action logement et pauvreté, une bonne compréhension de la pauvreté. Puis il a mis en place des mesures constructives pour lutter contre la crise du logement au sein d'un groupe communautaire, donc il a transformé un peu le groupe communautaire en un groupe proactif avec des mains sur le terrain.»
Selon notre collègue Jonathan Trudeau, Robert Poëti, ex-ministre libéral, qui a dirigé la Corporation des concessionnaires d’automobiles du Québec pendant quelques années, pourrait lui aussi se laisser tenter.