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Le partage de photos intimes sans consentement

«On veut s'assurer que l'image puisse être détruite ou retirée rapidement»

«On veut s'assurer que l'image puisse être détruite ou retirée rapidement»
Le partage sans consentement de photos intimes est un vrai fléau. / Xavier Lorenzo - Adobe Stock

Le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, vient de déposer un projet de loi pour contrer le partage sans consentement d’images intimes et améliorer la protection et le soutien en matière civile des personnes victimes de violence.  

 «Un ado sur cinq aurait déjà reçu l’image intime par texto d’une personne qui n’y consentait pas». 


Écoutez à ce sujet les propos de Simon Jolin-Barrette, à La commission.


«On veut s'assurer que rapidement, l'image puisse être détruite ou retirée. Alors, c'est pour ça qu'on crée une procédure simple et efficace en remplissant le formulaire en ligne qui va être traité par un juge de la Cour du Québec d'une façon urgente pour ordonner soit la destruction ou le retrait d'une image intime. Et même, on vise à ce que la menace également de diffuser, parce que ça peut arriver soit dans des situations d'ex conjoints où il y en a un qui avait une photo ou une vidéo de la personne dans une situation sexuellement explicite, qui menace de la diffuser aussi sous forme de contrôle. Mais là, on vient corriger ça, on vient donner des outils à la personne victime pour éviter que ça soit diffusé ou que le partage cesse.»

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