Un professeur d'université a repéré l'utilisation de ChatGPT dans 55 copies sur 60 remises par ses étudiants.
Stéphane Hamel est chargé d'enseignement à la Faculté des sciences de l’administration (FSA) de l’Université Laval. Il est aussi spécialiste en informatique, cybermétrie et vie privée. Dans ses cours, il autorise ses étudiants à utiliser ChatGPT, tant qu'ils l'indiquent.
«Je vois la différence entre ceux qui l'utilisent et ceux qui l'utilisent pas. Il y a un fossé qui est en train de se créer entre ceux qui ont les aptitudes pour l'utiliser, puis qui le font correctement, puis ceux justement récemment corrigés. Il y avait un texte complet qui a été généré par l'intelligence artificielle. Je l'ai détecté tout de suite et ça, c'est considéré du plagiat.»