Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou affirme qu'un cessez-le-feu avec le Hezbollah au Liban sera adopté par son cabinet aujourd'hui.
L'accord de trêve négocié par les États-Unis et la France entrerait en vigueur mercredi matin.
Écoutez le professeur agrégé à l'École supérieure d’affaires publiques et internationales de l'Université d’Ottawa, Thomas Juneau, faire part de son point de vue.
«Je pense que c'est le calcul coût-bénéfice, sécuritaire et économique, qui a primé. Ceci étant dit, la variable qui a changé, c'est l'arrivée de Trump [...] C'est un peu une façon de simplifier les choses pour monsieur Trump quand il va arriver. Monsieur Trump qui est très pro-Israël. Il y a des gens très pro-Israël autour de lui, mais il a souvent dit par rapport à l'Ukraine, par rapport au Moyen-Orient, qu'il veut arrêter les guerres. C'est une façon de rendre son arrivée au pouvoir un peu plus simple.»