En compagnie de Mario Langlois aux Amateurs de sports, Antoine Roussel revient sur la sélection du gardien Samuel Montembeault par Équipe Canada et sur la victoire des Canadiens contre les Islanders de New York.
«J'ai vu les alignements - des quatre équipes, puis, la première réflexion que je me suis faite: le Canada, c'est peut-être l'équipe qui a le moins... Là, toutes proportions gardées. C'est qu'il y a moins de vedettes. Je veux dire qu'il y a les super vedettes: MacKinnon, Crosby et McDavid, mais c'est pas juste des super vedettes dans cette équipe-là», soulgine Roussel.
«La première réaction que tu as quand tu regardes leur alignement, c'est: 'Ouais, peut être que l'alignement du Canada est un peu faible. Mais quand tu penses à l'alignement de l'équipe, moi, je vois une équipe qui est bien construite. Je vois une équipe qui n'est pas justement comme la Suède. La Suède, ils ont juste pris les vedettes, puis ils ont pas nécessairement des joueurs de rôle.
«Le Canada, avec un Sam Bennett, avec un Travis Konecny... C'est des gars qui viennent avec une saveur et un acharnement au travail qui leur colle à la peau, qui est différente de certains joueurs. On a choisi des joueurs qui pouvaient être cadrés là-dedans et que ça n'allait pas être compliqué d'accepter leur rôle. Je trouve que le Canada pris des bonnes décisions. Et ça m'amène à Samuel Montembeault.»
«Ça, c'est une excellente décision parce qu'on est allé chercher un gardien qui est capable d'absorber de la pression. La pression montréalaise, il ne faut pas la négliger. Il y en a une, elle est réelle et lui en fait fi. Il a grandi plus ou moins là-dedans dans son milieu de carrière.»
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