La coupe des 4 Nations mettra aux prises le Canada, les États-Unis, la Suède et la Finlande lors de rencontres présentées à Montréal et à Boston au mois de février.
Écoutez Julien BriseBois, directeur général et vice-président du Lightning de Tampa Bay, discuter de son rôle dans l'équipe de direction de l'équipe canadienne avec Mario Langlois.
«Chaque décision qui a été prise a été guidée par l'objectif de remporter le tournoi. On veut faire en sorte d'augmenter les chances que l'équipe canadienne remporte le tournoi des 4 Nations au mois de février. Chaque situation, chaque décision a été évaluée à travers ce prisme-là. C'est vraiment ça qui nous guide dans nos décisions», a noté BriseBois.
«Les cinq dirigeants: Don Sweeney, Doug Armstrong, Jim Neal, Carl Lewis et moi, on s'est promené à travers l'Amérique du Nord. On a regardé des matchs, des vidéos. On a analysé des rapports de statistiques, de statistiques avancées et tranquillement, pas vite, on a bâti notre équipe. On a bâti notre philosophie aussi avec le personnel d'entraîneurs, à savoir qu'est-ce qu'on voulait comme équipe? Quels outils les entraîneurs voulaient avoir dans leur coffre pour cet événement-là. Au début, il y avait énormément de noms et plus ça avançait un petit peu comme le principe de l'entonnoir, on s'est retrouvé à la fin avec les 23 joueurs qui ont été sélectionnés.»
Selon lui, les mots-clés de l'équipe seront «talent et l'esprit de compétition.»
C'est BriseBois qui a annoncé à Samuel Montembeault des Canadiens sa sélection.
«C'était un jour de match pour le Canadien, donc, je devais attendre que le match soit complété. Malheureusement, l'équipe a perdu cette journée-là, donc, je savais que j'allais rejoindre un joueur qui n'était pas nécessairement de bonne humeur. Mais en même temps, j'avais une très belle nouvelle à lui annoncer et je savais que ça allait certainement le faire sourire malgré les circonstances. Parce que ça n'arrive pas souvent que tu sois sélectionné pour l'équipe du Canada. Surtout dans un événement où c'est, comme on dit, le best on the best. Et c'est tout un honneur pour Sam et tous les joueurs sélectionnés. Et je savais que ça allait le toucher.»
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