Certains patients atteints du cancer ne peuvent pas être accompagnés à leurs séances de chimiothérapie à l'hôpital, a révélé Radio-Canada en octobre. Le ministre de la Santé, Christian Dubé, avait exigé un changement de politique à cet instant, mais la situation n'est toujours pas réglée à l'Hôpital du Saint-Sacrement, à Québec.
«Ce qu'on comprend, c'est que ça varie d'une place à l'autre, que rien n'est uniforme à travers le Québec. Ça veut dire que, si t'es chanceux, tu peux tomber sur une place où tu peux amener quelqu'un. Puis, si t'es pas chanceux, puis que c'est vieux, arrange-toi avec tes moyens.»