Le Conseil québécois du commerce de détail a établi ses principales priorités en marge des consultations prébudgétaires du ministère des Finances et la concurrence déloyale des plateformes étrangères en ligne en fait partie.
On peut penser à Temu, Shein, les détaillants en ligne sont de plus en plus nombreux... et de plus en plus populaires auprès des Québécois.
Écoutez le directeur général du Conseil québécois du commerce de détail, Damien Silès, faire le point à La commission.
«Il y a une passivité de nos gouvernements et je mets ça au pluriel, fédéral comme provincial. Cette demande n'est pas tombée du ciel. Ce sont des commerçants qui sont venus nous voir et qui sont plus qu'inquiets. Je dirais que même Amazon est inquiet de voir une évolution si rapide de Temu et de Shein.»