La revue de presse express

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à l'article de La Presse concernant le budget 2025 de la Ville de Montréal.

L'administration Plante dévoilera, mercredi, son dernier budget avant les élections municipales du 2 novembre 2025.

«Ce qu'on constate, c'est qu'il y a beaucoup de dépenses qui sont incontournables et qu'il y a une dépendance aux taxes foncières. Il y a les infrastructures, il faut se préparer pour les changements climatiques, la facture du transport en commun, la police, etc. Les postes budgétaires explosent à la Ville de Montréal. Mais là, on commence à jongler avec l'idée qu'il y a peut-être des affaires inutiles: les fameux chantiers, les offices, les sommets... une série d'activités qui coûtent cher, qui sont lourdes et qui n'aident pas à faire fonctionner une ville.»

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Les nominations de Donald Trump: comme le choix des acteurs et des actrices pour une émission de télé.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit au plan de Donald Trump d'expulser massivement les sans-papiers des États-Unis.

Le président désigné a confirmé qu'il comptait déclarer l'état d'urgence nationale, ce qui permettrait de débloquer les ressources du Pentagone pour mettre en œuvre son plan de déportation à grande échelle. 

«Sa première cible, c'est de sortir un million de ce qu'il qualifie "faux réfugiés". Parmi les stratégies utilisées, on veut construire des camps de déportation, d'expulsion, de transition [...] Ce qui est clair, c'est que c'est prioritaire pour lui, malgré l'impact économique. Il y a 11 millions de sans-papiers aux États-Unis et ces millions de personnes travaillent beaucoup dans l'industrie alimentaire, dans la production agricole, dans les usines [...] Mais c'est sa volonté d'aller de l'avant rapidement.» 

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Sondage Léger: 64% des Québécois ne veulent pas ramener la religion à l’école.

À l’occasion de sa revue de presse, lundi matin, Paul Arcand aborde le dérapage sexuel dans les Centres Jeunesse du Québec, alors qu’au moins 19 employés ont été congédiés ou ont démissionnés depuis les cinq dernières années. Les autorités locales de plusieurs CISSS et CIUSSS ont toutefois refusé de répondre aux questions du quotidien La Presse.

«C’est toujours le même principe, c’est-à-dire cette proximité des gens plus ou moins formés, peu expérimentés, qui développent des relations avec de jeunes délinquants, de jeunes bandits, de jeunes criminels, qui sont placés en institution.»

Il aborde aussi la culture de tolérance dans les centres jeunesse envers le développement de relations amoureuses entre les jeunes et leur éducateur ou éducatrice.

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Avortement: une série de mesures sera annoncée lundi pour renforcer le droit des femmes.
Décès de l’auteur-compositeur-interprète français Charles Dumont à l’âge de 95 ans.
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Combien de temps Donald Trump va-t-il supporter la présence d'Elon Musk à ses côtés?

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit au déclenchement de la grève des 55 000 travailleurs de Postes Canada.

Les facteurs sont en grève depuis 00h01 après qu'aucun progrès n'ait été fait à la table de négociation.

La société d'État a affirmé qu'elle fera de son mieux pour réduire au maximum les impacts sur les services.

«La grande question que tout le monde se pose, c'est quels seront les impacts sur la livraison du courrier et des colis? [...] Ce n'est pas bien bon pour l'image de Postes Canada. C'est la préoccupation de beaucoup de consommateurs, en cette période du Vendredi fou et des achats de Noël, d'obtenir le plus rapidement possible les produits achetés en ligne. Postes Canada ne pourra pas donner le service à 100% et des commerçants vont devoir se tourner vers d'autres fournisseurs.»

Autres sujets abordés

Déraillement de train dans le secteur Le Moyne à Longueuil.
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Uber domine l’industrie du taxi.
Premier spectacle de Taylor Swift à Toronto: c’est la folie.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand se penche sur l'impopularité grandissante du gouvernement Legault. 

Selon un coup de sonde Léger-Le Journal-TVA, 61% des Québécois se disent insatisfaits du gouvernement de François Legault. La Coalition Avenir Québec (CAQ) obtient 21% des intentions de vote, ce qui représente son plus bas taux d'appuis depuis 2016.

«Le chiffre le plus dévastateur pour Monsieur Legault, c'est le taux de satisfaction: 32%. Si on prend ça de l'autre côté, c'est pratiquement le deux tiers des Québécois qui se disent insatisfaits du gouvernement. Plusieurs facteurs expliquent ça, mais c'est vrai que depuis un an, depuis la saga du troisième lien, la défaite dans Jean-Talon, le message du premier ministre ne passe pas. Il pourrait annoncer la plus belle des nouvelles, c'est comme si les gens ne l'entendent pas ou il y a un scepticisme. Il y a cette grogne, cette insatisfaction du côté des citoyens.»

Toujours selon ce sondage, le Parti québécois de Paul St-Pierre-Plamondon obtient 35% des intentions de vote au Québec.

Autres sujets abordés

D'autres pluies abondantes attendues en Espagne;
Conflits de travail: le lock-out dans le port de Montréal et la menace de grève chez Postes Canada;
Sondage sur les intentions de vote au fédéral;
Elon Musk serait nommé responsable du nouveau département de l'efficacité; gouvernementale dans la prochaine administration Trump;
Des militants antiavortement veulent retrouver leur droit de manifester près des cliniques;
L'influenceur masculiniste Julien Bournival-Vaugeois frôle la faillite;
La patronne de Santé Québec a comme mission d'éliminer 1 milliard $ de déficits;
La clinique ELNA jongle entre le privé et le public.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand aborde les nombreux enjeux dans le milieu de la santé, dont le dossier de La Presse qui met de l'avant le nombre croissant d'infirmières praticiennes spécialisées qui quittent vers le privé. 

Même si le phénomène est difficile à chiffrer, l'Association des infirmières praticiennes spécialisées du Québec confirme constater cet exode.

«Pourquoi? Les mêmes raisons que beaucoup d'autres professionnels de la santé. Un horaire plus agréable, plus de faciliter pour concilier travail-famille et pour beaucoup, et ça, c'est un aspect qu'on aborde peu, [...] c'est une vision très spéciale de la façon de pratiquer la médecine. On veut prendre du temps, notamment en santé mentale, pour faire l'inventaire de l'ensemble des bobos d'un patient. Le principe, qui n'est pas reconnu, mais qui dans les faits existe, un rendez-vous, un bobo, il y en a qui ne sont pas à l'aise avec ça.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente plusieurs sujets, dont cette enquête de La Presse sur des donneurs de spermes en série au Québec.

Le père, Philippe Normand, et ses deux fils, seraient les géniteurs de 700 bébés à travers la province. 
Or, le père est porteur d'une maladie génétique, la tyrosinémie.

Plusieurs parents se sentent floués et ont entamé des recours juridiques.

«Les parents voient ça et se demandent si leur enfant peut développer cette maladie (...) Il n'y a pas beaucoup de collaboration du ministère de la Santé, pas beaucoup de collaboration des cliniques de fertilité. Mettez-vous à la place de ces femmes...»

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Le jour du Souvenir est célébré ce lundi à travers le Canada
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Défaite après défaite, la frustration s’installe chez le Canadien.

À l'occasion de sa revue de presse vendredi matin, Paul Arcand aborde la nomination de la principale stratège de Donald Trump au cours des quatre dernières années, alors que Susie Wiles a été confirmée jeudi au poste de Cheffe de cabinet à la Maison-Blanche en vue de l'entrée en poste du président américain dès janvier.

Paul Arcand traite ainsi des priorités à l'agenda de Donald Trump:

«D'entrée de jeu, en se pointant à la Maison-Blanche, ce qu'il va faire c'est se protéger. Faire le ménage dans toutes les poursuites, les dossiers criminels et civils qui sont sur la table contre lui. Se donner, évidemment, une immunité qui a été confirmée par la Cour suprême... Il va aussi accorder un pardon aux émeutiers qui ont pris d'assaut le Capitole le 6 janvier 2021.»

Il explique par ailleurs que Trump a l'intention de faire le ménage dans la fonction publique fédérale. Près de 50 000 personnes faisant partie du «deep state» travailleraient contre les intérêts des Américains, selon lui. Il va nommer des gens qui lui sont loyaux, à la place.

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Une cinquième défaite consécutive pour les hommes de Martin St-Louis.

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand revient sur les raisons qui expliquent la victoire de Donald Trump aux États-Unis, alors que l'inquiétude et l'incrédulité sont de mises pour beaucoup de citoyens canadiens à la suite des élections.

«D'abord il faut dire que c'est une victoire totale de monsieur Trump. Il a fait nettement mieux qu'à l'élection de 2020. Une victoire claire, sans équivoque. Une majorité de votes, une majorité au collègue électoral, il prend le contrôle du Sénat et de la Chambre des représentants. Ce qui fait que dès le 20 janvier, il promet de déclencher son fameux plan pour rebâtir l'Amérique, corriger les erreurs de l'administration Biden.» 

-Paul Arcand

Il explique que ce qui est étonnant, c'est que Donald Trump a fait plusieurs gains au sein de communautés qui traditionnellement votent du côté des démocrates et qu'on réalise que les amateurs de Trump sont de nature discrète.

Paul Arcand traite aussi de l'implication et de l'apport du milliardaire Elon Musk, des conséquences des mouvements populaires qui pourraient influencer le trafic à la frontière et des conséquences de l'élection sur l'économie du Québec et du Canada.

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Erreur judiciaire: 41 ans plus tard, Claude Paquin est blanchi.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand aborde la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine.

Les grands réseaux américains ont confirmé vers 5h30 mercredi matin que le candidat républicain a obtenu plus de 270 grands électeurs, le nombre nécessaire pour confirmer sa victoire. 

Charles-Philippe David, fondateur de la Chaire Raoul-Dandurand et président de l'Observatoire sur les États-Unis, était l'invité de Paul Arcand mercredi matin afin d'analyser le retour de l'homme de 78 ans à la Maison-Blanche.

«Il ne fait aucun doute que Donald Trump a gagné cette course présidentielle», notait l'expert de la politique américaine.

Au moment d'écrire ces lignes, le milliardaire était également en avance sur le vote populaire. Les républicains ont par ailleurs mis la main sur le Sénat en plus de conserver la Chambre des représentants.

«Le spectacle offert par Donald Trump - j’appelle ça un spectacle et non pas un programme politique - a conquis suffisamment, au moins la moitié de l’Amérique, pour le reporter au pouvoir. On doit aussi se questionner sur la manière de faire la politique et la portée des messages qui sont exprimés par des politiciens populistes comme Donald Trump. Son succès va en encourager d’autres, je le crains, que c’est la voie du succès [...] Il est clair que la recette de Trump a fonctionné auprès d’un électorat plus silencieux qui a acheté cette façon de faire de la politique et ce discours politique.»

À quoi s'attendre de ce deuxième mandat du politicien populiste?

«À peu près tous les observateurs prédisent que ça va être une présidence revancharde, revanchiste et probablement dangereuse pour la démocratie américaine.»