L’animateur Luc Ferrandez a vécu cet été une mauvaise expérience à La Ronde, propriété de la compagnie américaine Six Flags depuis des années.
Après avoir noté le coût considérable du prix des billets pour une famille de quatre ou cinq personnes personnes (37,99 $ par adulte, notamment), l’interdiction d’amener une collation ou des bouteilles d’eau sur place («pour dépendre de leur offre de service»), l'animateur a expliqué que la pluie a interrompu les manèges durant environ une heure durant l’après-midi où il s'y trouvait.
Or, une fois les intempéries passées, les manèges n’ont jamais repris le service et « tout d’un coup, les préposés, sans rien dire, ferment les ménages et puis ils s’en vont. Il n’y a aucune communication à personne. La raison? C’est qu’il y avait des orages prévus en soirée. La Ronde fermait en prévision des orages… qui ne sont jamais venus. »
Ayant été environ deux heures sur place, l’animateur – comme des centaines d’autres personnes - a été au service à la clientèle afin de demander un remboursement. En vain.
Luc Ferrandez a alors rappelé qu’à l’époque où il travaillait à la Ville de Montréal, La Ronde demandait à chaque année une réduction du coût du bail.
« On s’attend à ce qu’il y ait de l’amélioration. Il n’y en a pas d’amélioration... Année après année, La Ronde vient piger dans les poches des gens avec une grosse pompe à fric. Elle sort le maximum de fric de tes poches. Maintenant, c’est exploité comme une usine à fric. Ce n’est pas exploité comme un parc. »
On l'écoute...