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La FIQ et le gouvernement dans une impasse

«S'il faut en venir aux journées de grève, nous le ferons»

«S'il faut en venir aux journées de grève, nous le ferons»
Julie Bouchard, présidente du syndicat de la FIQ / Cogeco Média

Les 80 000 infirmières et inhalothérapeutes de la FIQ brandissent la menace de moyens de pression pour les prochaines semaines.

En soulignant les 500 jours sans contrat de travail, la présidente du syndicat, Julie Bouchard, a qualifié d’impasse l’état des négociations avec Québec.

Si elle écarte le recours à la grève à court terme, elle affirme que le mandat pourrait être exercé plus tard.

«S'il faut en venir aux journées de grève, nous le ferons. Les professionnelles en soins sont prêtes à faire tout ce qu'il faut pour avoir des conditions de travail intéressantes pour la suite des choses.»

En avril dernier, les professionnels en soins ont rejeté une entente de principe. Depuis, le gouvernement semble offrir pratiquement les mêmes conditions de travail à la table des pourparlers.

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