Il y a certaines nuances entre la prise de bonnes habitudes de vie et l'industrie du bien-être. Le chroniqueur Francisco Randez souhaitait tracer la ligne entre les deux, vendredi, au micro de Luc Ferrandez.
Le chroniqueur commence par une petite définition de l'industrie du bien-être, qui prend forme sous différentes approches.
«L'objectif, c'est d'améliorer sa santé physique et mentale, sa vitalité, son apparence aussi, et même ralentir le vieillissement. On va parler d'approche naturelle entre gros guillemets ou alternatives. Donc, qu'est-ce que ça inclut? La forme physique, évidemment, le yoga, l'entraînement, les Pilates, la nutrition, l'alimentation, les suppléments, les jeunes, les cures. C'est très populaire là-dedans. Payer 2000 piastres pour aller boire de l'eau pendant trois jours. Moi, j'ai vu ça. Donc voilà», souligne-t-il.
Écoutez-le expliquer en quoi cette industrie peut devenir malsaine et incroyablement dispendieuse...