À l’occasion de son commentaire éditorial mardi, écoutez Luc Ferrandez revenir sur l’article de la journaliste Marie-Ève Fournier dans La Presse intitulé: Les mères n’ont pas le temps d’épargner.
«J’ai un peu de difficulté avec le féminisme superficiel, c’est-à-dire de toujours penser que les femmes et les mères, mais les femmes en particulier, on va dire de façon plus générale, seraient des victimes, ne seraient pas capables de faire ce qui est attendu d’elles parce que leur charge de travail est énorme, elles sont débordées, etc. Ce n’est pas impossible. Mais de là à dire que les mères n’ont pas le temps d’épargner, ça m’a semblé un titre fort. Puis remettons là en perspective... [...] Tout ne peut pas être ramené tout le temps à la charge mentale de la mère qui s'occupe des enfants puis qui s'occupe du ménage.»
Il conclut en abordant la question des éoliennes dans les champs, qui semble poser problème, alors que l'animateur se questionne où on pourrait bien positionner des éoliennes pour ne pas déranger personne.