Une équipe d'enquête du quotidien Le Soleil, à Québec, s'est penchée sur les achats sur Amazon et les livraisons dans les écoles, l'équipe du Québec maintenant réagit.
«Il n’y a pas une question de facilité? Des fois, je sais qu’il y a d’autres plateformes, mais tu vas sur Amazon, c’est là, ton compte est déjà enregistré, ta carte de crédit et déjà au dossier, il y a un élément de facilité de guichet unique qui pousse beaucoup de monde vers Amazon», soulève Patrick Lagacé.
Écoutez autour de la machine à café, toute l'équipe discute de ce sujet d'actualité. On note d'ailleurs qu'un bon nombre de cégeps passent des commandes considérables auprès de Amazon.
«C’est le fun Amazon, je le sais, mais quand vous commandez quelque chose le samedi soir à 8 h, puis vous le recevez le lendemain matin avant 9 h. Là, il y a quelqu’un, puis pas juste un quelqu’un, plusieurs ''quelqu’un'', quelque part, qui ont pioché, puis qui ont couru partout dans un entrepôt sur la Rive-Sud, à Laval, qui ont mis ça dans les camions. Puis, tu sais, il y a un coût social, là, ça fait que vous économisez. Je comprends, mais à un moment donné, à la petite quincaillerie du coin pour y acheter des clous, ce n’est pas pire aussi, c’est pas mal mieux que l’acheter puis le recevoir en même temps devant sa porte, je pense. Mais je pense que cela va continuer. Ils l’ont fait avec les cégeps, je pense qu’ils vont le faire avec d’autres organisations.»