À l'émission Puisqu'il faut se lever, jeudi, Paul Arcand parle de sa dernière émission quotidienne régulière. Certes, il prendra officiellement sa retraite au terme d'une émission spéciale qui sera présentée vendredi, mais il ne sera pas seul...
La journaliste Esther Morin, une collègue de longue date de Paul, prendra aussi sa retraite au même moment. En ondes, elle partage d'ailleurs ses souvenirs et souligne l'impact de son rire sur les auditeurs du 98.5, malgré elle...
«Ce rire que j'arrive difficilement à contenir, visiblement, je prétends qu'il me vient de ma grand-mère, une petite bonne femme de moins de cinq pieds. Je nous revois nous contorsionner sur le tapis du salon, à pleurer de rire et demander pitié parce qu'on avait trop mal aux côtes et qu'on manquait d'air. J'avais six ans. Elle en avait autour de 70. Un rire intergénérationnel. Mais, quand j'ai commencé à travailler à la radio, je ne savais pas trop comment prendre les réactions qui me parvenaient concernant ce rire...»
«Godspeed, Esther»
Pour sa part, David Saint-Jacques, astronaute de l'Agence spatiale canadienne, souhaite à Esther un bon départ à la retraite.
Des collègues comme Mario Tremblay et Lise Lapointe partagent également leurs expériences auprès de Paul.