Les faits divers ont-ils encore la cote dans les émissions de radio au Québec?
Écoutez Claude «10-4» Poirier et Bénédicte Lebel, qui ont tenu la chronique de justice et faits divers à deux époques différentes, discuter de quelques moments marquants avec l'animateur de Puisqu'il faut se lever.
Dans celle de Paul Arcand, Puisqu'il faut se lever, ils ont toujours occupé une place importante.
«Quand t'as un meurtre, une femme assassinée par exemple, c'est une chose. Quand tu en as plusieurs, puis qu'on parle de féminicide, puis que là, les autorités commencent à s'y intéresser, derrière les fait divers, ce sont pour moi des faits de société. Claude Poirier dit souvent qu'on traite ça de chiens écrasés, un peu snob, alors que c'est un aspect de la vie qui est majeur, parce que ça nous amène à comprendre ou en tout cas à voir différentes interactions sociales, puis différentes situations sociales.»