Depuis les États-Unis, Yves Boisvert discute avec Philippe Cantin des talents oratoires de Barack Obama, soulignant son discours de jeudi en Pennsylvanie où il définit la vraie force contrairement à l'approche de Donald Trump.
Écoutez Yves Boisvert, de La Presse, au micro de Philippe Cantin.
Le chroniqueur note à quel point l'ancien président démocrate a offert sa définition de la vraie force - pas celle d'un intimidateur - et qu'il a incité les jeunes à aller voter.
Et il note aussi que Kamala Harris n'arrive pas à aussi bien cibler ses attaques contre Trump que Obama peut le faire.
«C'est là qu'on voit les limites d'une candidature de dernière minute. Autant ça a suscité un immense enthousiasme très rapidement, mais elle n'a pas eu le temps de s'installer comme l'adversaire direct de Donald Trump et je trouve qu'elle ne profite pas assez des occasions gratuites que Donald Trump lui offre chaque jour.»
Exemple à la clé: le fait que Donald Trump vende des montres en or pendant sa campagne...