Dans le cadre de sa chronique, mardi, Nathalie Normandeau réagit à l'entrevue accordée par Pierre Poilievre à Patrick Lagacé.
Il a aussi tenté d'expliquer pourquoi le Québec était le seul endroit, d'un océan à l'autre, où il n'était pas au premier rang des sondages dans les intentions de vote, en vue des élections.
Le leader des conservateurs juge qu'il doit mieux communiquer ses idées.
Nathalie Normandeau, elle, croit que c'est le côté populiste du chef qui répulse les Québécois.
«Ce qui rebute beaucoup de Québécois, c'est son côté très populiste. J'oserais même dire très trumpiste. Et on a l'impression parfois qu'on se fait prendre pour des valises. Parce qu'avec le populisme, on associe des solutions très simples à des problèmes très complexes.»