La succession de l’ancien «roi du taudis» réclame 500 000 dollars au Curateur public pour ne pas avoir adéquatement entretenu sa maison, alors qu'elle était sous sa protection.
Camille Pyant parle notamment de Robert Sebag dans Le Journal de Montréal.
Celui-ci avait fait les manchettes dans les années 2000 en raison des conditions insalubres dans lesquelles il laissait son imposant parc immobilier à Montréal. Il laissait ainsi plusieurs de ses locataires vivre dans des conditions misérables.
Plus tard, il a vendu la majorité de ses bâtiments délabrés, remplis de moisissure et de vermine, dans les années suivantes pour se recycler dans les immeubles à condominiums avant de décéder en novembre 2023. C'est ce qu'on peut lire dans l'article du quotidien.
Écoutez le chroniqueur Luc Ferrandez qui commente cette cynique histoire qui concerne une maison dans Mont-Royal.
«En faisant un peu de recherche, je me suis rendu compte que c'est un double karma...»