Une professeure de yoga de Montréal, Stéphanie, a commencé à offrir des cours à des détenus à la prison de Bordeaux et à l’établissement de détention de Sorel entre autres.
Elle refuse qu’il y ait des gardiens avec elle malgré le fait qu’un de ses groupes soit composé d’agresseurs sexuels.
Écoutez le reportage de Maude Goyer qui a discuté avec cette professeure de yoga qui pratique dans un milieu différent.
«Je n'ai jamais eu aucun débordement, ni mot de travers, ni regard de travers, ni dispute. C'est un respect total. Chaque détenu fait preuve de politesse envers moi. Je fais en sorte d'instaurer un climat de bienveillance.»