Est-ce que ça vous émeut de constater qu'autant de femmes vivre dans la rue à Montréal?
Au Québec, le nombre de femmes itinérantes est en augmentation en raison de la hausse de la pauvreté, de la rareté des logements, de la violence, des problèmes de santé mentale…
Ces femmes ont vécu des épreuves concernant la toxicomanie, des traumatismes durant l’enfance ou encore de la violence sexuelle.
Écoutez Ann-Gaël Whitman coordonnatrice de l’organisme La rue des femmes, accueille et soigne des femmes en état d’itinérance ou à risque d’y sombrer.
Plus de 1000 femmes y sont accueillies et soignées annuellement.
- La rue des femmes compte trois maisons : La maison Olga offre des soins psycho-relationnels et de transition, puis 20 chambres individuelles
- Le Centre Dahlia offre du logement autonome, soit 12 logements de transition
- La maison Jacqueline dispose de 20 lits d’urgence