Le phénomène des «furries» a été constaté dans une école secondaire de Gatineau où certains jeunes se définiraient par des «identités animales».
Le chroniqueur Frédéric Labelle donnait des exemples d'une jeune fille, qui se prend pour un chat. Certains sont des loups, d’autres des chiots. On les appelle les «furries».
C’est un phénomène qui n’est pas nouveau, mais qui serait grandissant dans certaines écoles du Québec.
Écoutez Frédéric Labelle qui a discuté avec plusieurs personnes «furries».
«Certains élèves portent des oreilles de chat, une queue de chat, un collier et parfois même une laisse. Certains profs seraient intervenus pour des problèmes de miaulement durant leur cours!»