Le smog relié aux feux de forêt va atteindre plusieurs régions du Québec ce jeudi, dont la métropole. D’ailleurs, on a appris tout récemment que la qualité de l’air est de plus en plus polluée à Montréal, depuis la fin de la pandémie.
À vrai dire, il y a eu 33 jours durant lesquels la qualité de l’air était mauvaise sur l’île, l’an dernier.
Ce sont les véhicules sont les routes qui s’avèrent la principale cause de cette pollution. Étonnamment, la complétion internationale des feux d’artifice organisée l’été par La Ronde est aussi un facteur considérable de pollution.
En entrevue avec l'animateur Luc Ferrandez, jeudi, le Dr Stéphane Perron, médecin spécialiste en santé environnementale à l’Institut national de santé publique du Québec, parle de la provenance des particules fines qui sont dommageables pour la santé des gens. Il souligne toutefois qu’il y a eu certaines améliorations grâce à différentes actions, comme la diminution des feux de foyer au bois au Québec.
Deux facteurs sont distincts, selon M. Perron: les phénomènes météorologiques et la pollution «chronique» causés par les humains.
Quant à Marie-Andrée Mauger, responsable de la transition écologique et de l'environnement au comité exécutif de la Ville de Montréal, elle souligne que la moyenne annuelle de la pollution causée par les particules fines est à la baisse depuis plusieurs années.
Écoutez l’intégralité de la chronique à l’émission Sans réserve.