Le smog et l’odeur de fumée étaient bien présents, dimanche, dans plusieurs régions du Québec, dont Montréal et ses environs.
La métropole québécoise trône désormais au sommet des palmarès des villes ayant la pire qualité de l’air au monde, et ce, en grande partie à cause des incendies de forêt dans le nord de la province.
Écoutez Louis Lacroix qui discute avec le Dr David Kaiser des effets du smog sur la santé des Québécois.
Le Dr Kaiser, directeur médical adjoint et médecin spécialiste pour la Direction Régionale de Santé publique de Montréal, donne les directives pour se protéger.
«Dans la dernière journée, les niveaux ont été plus élevés, 15 à 20 fois plus élevés que ce qu'on voit d'habitude. I y a des personnes plus à risques: les gens avec des troubles du coeur, des troubles d'asthme, des problèmes respiratoires... Mais, quand c'est élevé comme ça, ça peut toucher tout le monde et cela explique pourquoi on est allé de l'avant avec un peu plus de restrictions dans la dernière journée.»