Ce fut un bel été pour le cinéma au Québec!
Écoutez la chroniqueuse culturelle Catherine Beauchamp au micro de l’animateur Luc Ferrandez.
On parle entre autres du film Le temps d'un été, de Louise Archambault, qui a amassé plus de 2 millions de dollars au cours de la saison estivale, ou encore du long-métrage Les hommes de ma mère, d’Anik Jean. Aussi, le dernier film de Bernard Émond, Une femme respectable, vient d’entrer dans les palmarès.
«C'est une super nouvelle, ça. Depuis les trois dernières années, on annonçait presque la mort du cinéma québécois.»
«On sait que la pandémie a fait très mal, évidemment, à notre cinéma québécois. Au cinéma, point. En salle, il n'y avait vraiment plus personne qui se rendait. Il y avait comme une paresse qui s'était installée. Les gens avaient davantage envie de regarder des films à la maison. Et là, à notre grande surprise, il y a des films qui performent super bien cet été, malgré les gros blockbusters.»