En 2019, Jonathan Mayer avait lancé un défi à ses étudiants à l'Université de Sherbrooke : écrire un projet de loi contre l’obsolescence programmée qui avait été déposé à l’Assemblée nationale par Guy Ouellet en avril 2019.
Celui qui est chargé de cours à la Faculté de droit, est en mesure de constater que l’idée a fait son chemin depuis. Et alors que Québec poursuit ses travaux sur l'étude du projet de loi 29, Jonathan Mayer était de passage à Québec, mardi, dans le cadre des consultations.
«De penser déjà, dès la conception des produits, comment les différentes composantes de ces produits-là deviendront des déchets qui pourront par la suite être utilisés dans d'autres produits. De penser les déchets comme des ressources, dès la conception, je ne pense pas que c'est de rêver en couleurs.»