À partir du 7 décembre, les infirmières praticiennes spécialisées peuvent évaluer l’admissibilité des patients à l'aide médicale à mourir (AMM). Elles pourront aussi administre la sédation paliative.
Écoutez l'entrevue de Luc Ferrandez avec Christine Laliberte, présidente de l'Association des infirmières praticiennes spécialisées du Québec.
«Quand les patients sont habitués avec le même genre de personne et soudainement doivent avoir l'aide médicale à mourir avec un inconnu, ça faisait comme une coupure de soins», estime Christine Laliberte.
«Il va y avoir moins de ralentissements dans les processus administratifs», insiste-t-elle.
Il y a un peu plus de 1300 infirmières praticiennes spécialisées au Québec.