Dans les palais de justice de l’Abitibi-Témiscamingue, il y a une pénurie de constables spéciaux et les juges doivent parfois faire appel à la police pour sécuriser les salles d’audience.
L'avocat en droit familial, ME Michel-Etienne Parayre, brosse le portrait de la sécurité dans les palais de justice en Abitibi, jeudi, au micro de Paul Arcand.
«Les cinq palais de justice en Abitibi-Témiscamingue, parfois, il n'y a aucun constable. Aucun. Zéro. Il faut savoir qu'en Abitibi-Témiscamingue, les conseils spéciaux, c'est relativement nouveau. Ça peut être six ou sept ans», souligne-t-il.
Écoutez-le raconter des cas où le juge anticipait une réaction de violence ou très émotive et a demandé à la Sûreté du Québec d'envoyer des policiers...