On apprenait ce matin que le Nouveau-Mexique poursuit l'entreprise META, propriétaire d'Instagram et de Facebook. Un procès qui dure depuis octobre. L’entreprise favoriserait les problèmes de santé mentale chez les jeunes et chez les adolescents.
Écoutez la collaboratrice Geneviève Pettersen et l'animateur Luc Ferrandez discuter du géant du web et de ses effets sur les jeunes.
Le procureur du Nouveau-Mexique prétendait avoir des preuves comme quoi META a une connaissance «historique» d’une certaine nuisance envers ses utilisateurs plus jeunes.
«Trente-trois États américains disent que l'entreprise développe sciemment ça, donc consciemment, de façon tout à fait intéressée, des extensions, des paramètres qui favorisent, si on veut, la communication entre des adultes et des jeunes enfants, des adolescents. [...] C'est vraiment de pouvoir communiquer avec une personne mineure, c'est-à-dire qu'une personne, par exemple de 40 ans, pourrait écrire des messages privés, que ce soit sur Instagram, que ce soit sur Facebook ou même via des commentaires, puis des messages parfois à caractère sexuel explicites, à des jeunes.»