Comment le Groupe Juste pour rire a-t-il pu accumuler autant de dettes et se placer à l'abri de ses créanciers?
Écoutez la chronique de Pierre-Yves McSween au micro de Paul Arcand sur les difficultés financières de Juste pour rire.
Selon Pierre-Yves McSween, il est possible que l'achat de l'entreprise à Gilbert Rozon n'ait pas encore été totalement payé.
«Un bon exemple: Gilbert Rozon peut avoir une compensation conditionnelle dans la vente: tu donnes une partie fixe, puis après ça, avec les années, tu paies 4 à 5 millions de dollars par année sur dix ans», explique-t-il.
«Rozon était un négociateur assez hors pair, ajoute l'animateur Paul Arcand. On est obligé d'admettre que la performance de Juste pour rire était pas mal liée à sa présence.»