L’IVAC (indemnisation des victimes d’actes criminels), organisme dont la mission est d’accompagner les personnes pour leur permettre de se rétablir, verse des indemnisations à un harceleur qui s’acharne à pourrir la vie de son ex-conjointe.
En effet, cet homme se fait indemniser par l’IVAC parce qu'il joue à la victime. Il aurait fait croire qu'il est victime de son ex-conjointe alors que des documents démontrent exactement le contraire.
Il a notamment fait croire que l’enfant avait été maltraité par sa mère.
Pendant que Justine racontait son cauchemar au juge, dans la salle d’audience, son ex-conjoint souriait d'ailleurs à pleines dents...
À l'émission de Paul Arcand, jeudi, écoutez la chroniqueuse de La Presse, Isabelle Hachey, qui a écrit un article sur le sujet.
«Un enfant est né après quelques mois de fréquentation. Mais, très vite, la relation devient toxique. L’homme l’harcèle, il l'empêche de sortir de la maison, il devient très contrôlant. Donc, l'enfant a seulement trois mois quand elle fuit la maison, carrément. Par la suite, il continue à écrire des textos, à la harceler, à lui conseiller de se suicider, toutes sortes de choses très harcelantes. C'est du harcèlement criminel. Donc elle porte plainte. Finalement, il finit par plaider coupable. Mais il continue…»