À un an des élections municipales, Projet Montréal teste la popularité de la mairesse Plante face à de potentiels adversaires, comme Sophie Brochu, Pablo Rodriguez ou Mélanie Joly. Valérie Plante est-elle toujours la femme de la situation pour la métropole québécoise?
Voilà la question sur laquelle se penchent les commissaires Luc Ferrandez et Nathalie Normandeau lundi matin au micro de Paul Arcand.
«C’est sûr que Valérie Plante ne se présente pas pour perdre. S’il y avait un "score" ou si le sondage était à 40 %, là elle va donner sa démission, je pense. Compte tenu de ce que je vois de sa personnalité, là, ce n’est pas une femme qui va apprécier être dans l’opposition après avoir été huit ans au pouvoir. D’ailleurs, c’est le cas de la plupart des gens qui ont été au pouvoir.»
«Toutes ces candidatures relèvent les amis du fantasme. Ça n’arrivera jamais! Dominique Anglade a confirmé à ton micro Paul, qu’elle n’était pas intéressée. Sophie Brochu également. Pour ce qui est de Mélanie Joly, Pablo Rodriguez, si jamais il était défait à la prochaine élection probablement, qui aura lieu dans un an, au printemps 2025, ils ne choisiront pas de se rabattre sur la mairie de Montréal. Oubliez ça, ça n’arrivera pas. Selon moi, les deux candidatures les plus probables, ce sont Michel Leblanc de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et Aref Salem, chef intérimaire d’Ensemble Montréal.»