C'est le début des séries éliminatoires dans la Ligue de hockey junior Maritimes Québec.
Pour l'occasion, le commissaire du circuit, Mario Cecchini, est au micro de Mario Langlois aux Amateurs de sports.
Forcément, on aborde d'entrée de jeu la controverse des chandails unilingues anglophones des Voltigeurs de Drummondville.
«Je n'excuse pas Drummondville. Ce n'est pas le point. Et l'équipe l'a reconnu elle-même (l'erreur). Mais je fais une distinction entre la ligue et les clubs. On gère la ligue, le marketing de la ligue dans son ensemble, mais on ne gère pas les 18 clubs. C'est juste une mise au point. Ce n'est pas une excuse. On a des règles, on a des directions, mais on veut que chacun y aille de sa propre créativité.»
«Je veux rassurer tout le monde, s'il y a des doutes, que toutes les communications pour le public, pour les citoyens, pour les consommateurs, ça a toujours été en français. S'il y avait eu des erreurs de ce côté, on l'aurait su bien avant aujourd'hui.
«Ce que je ne veux pas qu'il reste dans l'imaginaire collectif, c'est que la LHJMQ se fout du français. Ce n'est absolument pas vrai.»
Et Mario Cecchini apporte une foule d'exemples pour appuyer ses dires.
Le bilan de Mario Cecchini après un an en poste
- La baisse notable des bagarres dans la LHJMQ
- Une hausse d'assistance dans le circuit
- Un employé francophone pour les réseaux sociaux de la Ligue canadienne de hockey
- Les relations entre la NCAA et la LHJMQ
- Le Titan de Bathurst est à vendre, mais pas de déménagement en vue
- De nouveaux marchés?
- Qui s'imposera en séries?
On écoute Mario Cecchini ...