Statistique Canada illustre le manque de place dans les refuges pour femmes victimes de violence conjugale, en dévoilant jeudi des données à ce sujet.
Louise Riendeau, coresponsable des dossiers politiques pour le regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, brosse le portrait de la situation, vendredi, au micro de Paul Arcand.
«Nos collègues de SOS Violences conjugales nous disent depuis plusieurs mois qu'elles refusent une femme sur deux. Parfois, ça peut être jusqu'à 17 femmes par jour parce qu'il n'y a pas de place dans les maisons au moment où elles en cherchent pour ces femmes-là.»
Écoutez-la présenter les alternatives qui sont présentement mises en œuvre, pour aider le plus possible ces femmes, malgré le manque de place en centre d'hébergement...