L'entreprise québécoise SuperPatch vend des timbres dermatologiques, prétendument bénéfiques pour divers maux, en s'appuyant sur des études médicales douteuses publiées dans de fausses revues scientifiques.
C'est ce que révèle une enquête de Tristan Péloquin publiée dans La Presse mercredi.
Des scientifiques qu'il a interrogés jugent les études non crédibles, sans groupe témoin et avec des résultats biaisés.
Ces produits sont vendus en kits coûteux, avec des incitations pour les vendeurs, malgré un manque de preuves scientifiques solides.