Réalisée à l’Université d’Ottawa, une étude a démontré qu’une exposition à la pollution atmosphérique peut augmenter le risque de paralysie cérébrale chez les bébés.
Ce serait l’exposition de la mère à une particule précise, durant le deuxième trimestre de grossesse, qui augmenterait les chances que l’enfant soit diagnostiqué avec une paralysie cérébrale avant l’âge de 18 ans.
Dans quoi trouve-t-on cette particule, histoire qu’on sache à quoi ne pas s’exposer? Ça peut être d’origine naturelle, comme les incendies de forêts, ou bien d’origine humaine, comme la combustion des usines ou des moteurs. On dit que cette pollution atmosphérique pourrait interférer avec le développement du cerveau à un moment crucial.
Écoutez les propos du professeur adjoint de l’École d’épidémiologie et de santé publique de l’Université d’Ottawa et auteur de l’étude, Éric Lavigne, mardi, au micro d'Élisabeth Crête.