Le gouvernement et les membres du syndicat des infirmières, la FIQ, sont finalement parvenus à une entente acceptée à 66% par les membres, après deux ans de négociations.
Mais en quoi cette entente est-elle différente de celle qui a récemment été refusée?
Écoutez Jérôme Rousseau, VP à la FIQ et coresponsable de la négociation, aborder le sujet, samedi, au micro d'Élisabeth Crête.
«La différence c'est que, dans sa recommandation, le conciliateur est venu baliser beaucoup d'éléments. Si les employeurs veulent fusionner des centres d'activité des départements, ils doivent tenir compte de la particularité des soins. Aussi, il va y avoir une forme de mobilité, mais sur une base volontaire. Ça faisait aussi partie des enjeux. Si des gens veulent être déplacés, puis qu'il y a des besoins ailleurs dans leur même spécialité, c'est possible.»