La directrice générale de Polytechnique Montréal craint que la réévaluation des cibles en matière d’immigration nuise aux universités.
Maud Cohen précise que la clientèle étudiante des programmes de recherche de 2e et 3e cycles est composée principalement d’étudiants d’origine étrangère.
Écoutez les précisions de la gestionnaire au micro de Patrick Lagacé, mardi.
«Ce qu'on prône, ce qu'on met de l'avant, c'est qu'un étudiant international, c'est une immigration qui est quand même parfaite d'un point de vue économique. C'est un étudiant qui a un diplôme en français, un diplôme au Québec, qui n'a pas d'enjeu d'équivalence. Ce qu'on prône aussi, surtout, à Polytechnique, c'est que les étudiants étrangers composent la majorité de nos étudiants aux cycles supérieurs en maîtrise recherche et en doctorat. C'est donc une contribution significative à la recherche au Canada et à l'innovation dans nos industries.»