Au micro de Marie-Claude Lavallée, l'ex-ministre péquiste et professeur associé à l’École nationale d’administration publique (ENAP), Rémy Trudel, réagit lundi à la démission de Justin Trudeau.
«En politique, on se nourrit d'une espèce d'espoir [de pouvoir remonter la pente]. [...] Ce qui était évidemment imprévisible, c'était le départ de madame Freeland avec fracas sur des orientations budgétaires fondamentales. Quand le décompte fait en sorte qu'on n'additionne pas, mais qu'on soustrait les appuis qu'on a au sein de nos troupes, il faut se dire: "Je suis mieux de quitter".»