Au panthéon des personnages maudits de l'histoire, peu de ces «monstres humains» ont suscité autant de fascination que Erzsébet Bathory. On raconte qu'au début du XVIIe siècle, la Bathory aurait assassiné plus de 600 de ses domestiques, et ce, dans d'horribles tortures. La rumeur soutient que la comtesse, obsédée par sa beauté ― et terrifiée à l'idée de vieillir ― aurait tué de jeunes femmes vierges pour se baigner dans leur sang. Elle était apparemment convaincue que l'hémoglobine de ses victimes agissait comme une fontaine de jouvence. Certains accusent également la comtesse de s'être adonnée au vampirisme et la sorcellerie, s'entourant de complices aussi débauchés que cruels. Comme dans le cas de ses alter ego, Gilles de Rais ou Vlad Dracula, la vie de la comtesse Bathory est devenue une légende où la frontière entre la réalité historique et les fantasmes littéraires est particulièrement nébuleuse.
Derniers épisodes
À l'automne de 1973, une vague d'apparitions d'OVNIS déferle sur les États-Unis. Il ne se passe pas une seule journée sans que la presse ne parle de ces mystérieuses « soucoupes volantes ». Dans la soirée du 11 octobre, Charles Hickson et Calvin Parker se retrouvent sur les berges de la rivière Pascagoula (Mississippi) pour y taquiner le poisson. Vers 20 h, un objet en forme de ballon de football s'approche d'eux à faible altitude. Dans l'obscurité naissante, les hommes pensent d'abord à une voiture de police. Ils ont tort. Charles Hickson et Calvin Parker sont à la veille de vivre un cauchemar sans nom, une rencontre du 4ème type aux mains de créatures que d'aucuns n'hésitent pas à qualifier d'extraterrestres.
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En mars 1989, Mark Kilroy, un jeune étudiant américain de l’université du Texas, se rend à Matamoros, au Mexique. Lui et ses amis comptent bien profiter de la relâche pour faire la fête. Mark n’en reviendra pas. Il disparaît au détour d’une ruelle. Des deux côtés de la frontière, les services de police sont sur la corde raide. La disparition de Mark Kilroy va bientôt mettre à jour une poignée de narcotrafiquants adeptes de magie noire. Dans leur quête de pouvoirs surnaturels, rien n’arrête ces criminels… pas même les sacrifices humains.
- Bonus
En 1995, la petite communauté de La Ronge, en Saskatchewan (Canada), a été le théâtre d'un crime monstrueux. Un enfant a été assassiné et mutilé de manière rituelle. L'assassin, Sandy Charles, un adolescent du village, a vite été appréhendé. Interrogé par les autorités de la GRC, il a vite admis sa responsabilité. Mais les enquêteurs n'étaient pas au bout de leurs surprises. Selon Sandy Charles, son crime s'inscrivait dans un processus magico-religieux inspiré d'un film d'horreur populaire. Sandy Charles rêvait de devenir le plus puissant des sorciers : un Warlock.
À en croire les cryptozoologues (les spécialistes autoproclamés de « monstres » de tout acabit) il existerait dans des régions reculées et quasi inaccessibles du monde ― des contreforts de l'Himalaya aux vastes forêts de l'Amérique du Nord ― des créatures simiesques mi-hommes mi-animales. On l'appelle Yeti, Yaren, Bigfoot ou Sasquatch. Au-delà des légendes et des témoignages, quelles sont les preuves à l'appui de ces créatures ? Les amateurs soutiennent qu'au fil des ans ils auraient colligé de nombreux échantillons biologiques et moulé des centaines d'empreintes géantes. Si pour certains, ces « éléments » constituent un corpus de preuves irréfutables, les scientifiques ne partagent pas forcément leur enthousiasme. Lançons-nous sur la piste du monstre.
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