Les personnes qui se tournent vers l'extrémisme violent souffrent souvent de troubles d'anxiété, d'humeur ou de stress, comme le dévoile une étude sur laquelle se penche un article de La Presse, jeudi.
La Dre Cécile Rousseau, pédopsychiatre, professeure à l’Université McGill et chercheuse principale dans l’étude en question, souhaite que ces personnes soient plus facilement prises en charge.
À l'émission Le Québec maintenant, elle aborde cette situation qui touche davantage les hommes et discute de l'équipe clinique de Polarisation du CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’île de MTL qui vise à aider les extrémistes violents...