Les centres de ski du Québec n’ont pas la vie facile en ce début de la saison hivernale. Les établissements de plein air sont-ils victimes du même sort?
Simon Boivin, porte-parole de la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ),aborde le sujet, jeudi, au micro de Marie-Claude Lavallée.
«Particulièrement pour les amoureux de la glisse, les fondeurs, la matière première est plus difficile à trouver ces temps-ci et c'est difficile de trouver des endroits où ils peuvent s'adonner à leur passion ou leur loisir préféré», explique-t-il.
Écoutez-le discuter des endroits où il est tout de même possible de pratiquer certaines activités...