Malgré du temps supplémentaire payé pour aider au rattrapage scolaire, l’intérêt des professeurs varie grandement d’une école à l’autre.
C’est ce qu’on apprend dans un article publié dans Le Journal de Montréal.
Le plan du ministre de l’Éducation Bernard Drainville, qui misait évidemment sur la bonne foi des enseignants pour aider les jeunes en difficulté, est visiblement moins efficace que prévu.
Écoutez Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement.
«C’est à géométrie très variable à travers le Québec. On a des endroits où cent pour cent des enseignants ont levé la main pour aider à propos de ce plan de rattrapage. Mais, je vous dirais que c'est plutôt mitigé comme réponse. Dans plusieurs endroits, aucun enseignant n’a levé la main pour donner un service supplémentaire.»