Tous les dimanches, Élisabeth Crête et l'équipe de Même le week-end reçoivent un invité spécial auquel ils posent une série de questions avant de l'accepter comme membre officiel du club.
L'équipe a fait une exception en recevant un invité ce samedi, le journaliste sportif et chroniqueur au micro de Paul Arcand, Alain Crête, qui prendra sa retraite de la radio dans deux semaines. Il discute notamment de ce qui lui manquera le plus de ses matins en onde avec l'équipe de Puisqu'il faut se lever.
«Quand les joueurs de hockey prennent leur retraite, tu leur demandes ce qui va leur manquer. Souvent ils disent “Je ne m'ennuierai pas des pratiques, je ne m'ennuierais pas des voyages, je ne m'ennuierais pas des hôtels. Je vais m'ennuyer de la gang.» Pour moi, c'est la même chose. J'ai toujours dit que j'étais payé pour me lever parce qu'une fois que j'arrive ici, c'est le fun. On a une belle gang le matin, puis c'est l'fun de travailler avec Paul parce qu'il donne de la glace à tout le monde. Puis ça se fait dans la bonne humeur. S'il y a quelque chose qui va me manquer, c'est probablement ça. Ce ne sera pas le cadran qui sonne à 4 h le matin.»
Écoutez Alain Crête aborder de nombreux sujets tels que sa carrière à RDS, de l'impact de la vente des Nordiques et des sacrifices qu'il a dû faire au cours de sa carrière...