Grand Prix de Formule 1 à Montréal: les commissaires Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez se demandent si l’événement au circuit Gilles-Villeneuve est menacé.
Plusieurs histoires malheureuses ont incité le président de la Formule 1, Stefano Domenicali, à écrire une lettre pour présenter ses excuses, notamment en raison de la fuite d'eau dans les paddocks, la fermeture de l'île Notre-Dame pendant une heure et l'envahissement de la piste par la foule avant la fin de l'événement dimanche.
«Je ne pense pas qu'on va perdre le Grand Prix, sauf qu'il y a d'autres juridictions sur la planète qui lèvent la main pour avoir le Grand Prix comme la Corée du Sud, la Thaïlande, l'Indonésie...»
Luc Ferrandez dénonce quant à lui la «campagne de dénigrement du Journal de Montréal» qui souhaite renommer l'événement le Grand Prix de la prostitution...